By La Croix
Valentin Gouriou
Le Strasbourgeois Bernard Geyler, ancien architecte, met ses
compétences au profit des projets de l’archevêque de Kirkouk (Irak).
« Ne nous oubliez pas. » Le cri de Mgr Louis Raphaël Sako, au sujet des chrétiens d’Irak, a résonné au plus intime de Bernard Geyler, 67 ans, après qu’il a refermé le livre du patriarche chaldéen de Bagdad (1). « Il m’a paru indispensable de m’intéresser et de répondre concrètement à la supplique du patriarche des chrétiens d’Irak », explique cet ancien architecte. Titulaire d’une maîtrise en théologie, il a déjà apporté son aide à de nombreux projets architecturaux menés par l’ordre des prêcheurs (locaux des Éditions du Cerf, musée de Sylvanès, etc.).
« Ne nous oubliez pas. » Le cri de Mgr Louis Raphaël Sako, au sujet des chrétiens d’Irak, a résonné au plus intime de Bernard Geyler, 67 ans, après qu’il a refermé le livre du patriarche chaldéen de Bagdad (1). « Il m’a paru indispensable de m’intéresser et de répondre concrètement à la supplique du patriarche des chrétiens d’Irak », explique cet ancien architecte. Titulaire d’une maîtrise en théologie, il a déjà apporté son aide à de nombreux projets architecturaux menés par l’ordre des prêcheurs (locaux des Éditions du Cerf, musée de Sylvanès, etc.).